Le guérisseur est la personne qui apporte la bonne parole, connaît les mots qui apaisent, qui soulagent, qui redonnent confiance et espoir.
Le guérisseur possède des connaissances, qu’il a apprises auprès des anciens et au cours de ses pratiques, de ses expériences, au contact des personnes qui souffrent mais aussi de la nature avec laquelle il est uni.
Le guérisseur applique des méthodes empiriques c’est-à-dire qu’il utilise exclusivement l’expérience et l’observation et non la théorie, il s’adapte à la personne, il ne fait pas de diagnostic.
Le guérisseur fait partie de la Société depuis toujours et il draine auprès de lui nombre de gens qui souffrent du corps, qui sont « mal dans leur peau » et qui risquent de l’être longtemps encore au vu des soucis, des tracas, des contraintes de toutes sortes qui perturbent le psychisme et le physique de ces gens.
Alors, quand on va chez le guérisseur, on se sent transformé par l’atmosphère qui règne chez lui, par les senteurs de plantes ou des fleurs mais aussi par son langage qui calme la nervosité, l’angoisse, l’anxiété, par sa chaleur qui fait apparaître en soi l’espoir et les promesses de jours meilleurs.
Dans l’intérêt des malades, des accidentés, il est souhaitable qu’il y ait entente des médecins, chirurgiens et des guérisseurs. Chacun a un rôle important à assumer auprès de ceux qui souffrent, autant dans leur esprit que dans leurs corps physique.
Chacun de nous possède un potentiel énergétique considérable pour activer la guérison, renaître à la vie.
Savoir cette réalité est un atout.
L’organisme humain est son premier guérisseur à condition de créer des pensées et des actes positifs pour réagir par rapport aux maladies, au mal-être et engendrer ainsi un renouveau moral et physique.
En ce qui concerne les religions, elles servent uniquement de fraternité, à relier les hommes et les femmes entre eux et permettre ainsi de partager tout ce qui assure une vie meilleure loin des chapelles, des églises, des temples ou de gens sectaires qui étouffent l’être humain plus qu’ils ne lui donnent les moyens de s’épanouir.